Recherche avancéeRecherche tout champNouvelle recherche Page d'accueil  

   
Titre :
Compositeur(s) et-ou auteur(s) :
Interprète(s) :
Genre :
Année d'enregistrement :
Instruments :
Marque de fabrique, label :
Format :
   
Retour au tableau des résultats

1450 résultats trouvés

Précédent 1 38 51 101 151 201 251 301 351 401 451 501 551 601 651 701 751 801 851 901 951 1001 1051 1101 1151 1201 1251 1301 1351 1401 1450 Suite droite

 
Titre :Le médecin rigolo
Compositeur(s) et-ou auteur(s) :Vargues, Félicien ; Tarault, Valentin ; Trébitsch, Alexandre
Interprète(s) :Zip, M. [Léopold Postieau]
Fichier audio :
Photo(s) :Photo
Support d'enregistrement :Disque
Format :25 cm aiguille (enregistrement acoustique)
Lieu d'enregistrement :Paris, France
Marque de fabrique, label :Zonophone (Gramophone)
Numéro de catalogue :x282003
Numéro de matrice :14360u
Date de l'enregistrement :1909-02-11
État :Exc++
Vitesse (tours/minute) :75,6
Matériel employé au transfert :Garrard 401, SME 3012, pointe 2,0ET sur Stanton, Elberg MD12 : courbe flat, passe-bas 4kHz, Cedar X declick, decrackle, dehiss
Date du transfert :26-05-2011
Commentaires :Texte du contenu ci-dessous.
Texte du contenu :Le médecin rigolo

Création : Resse (1903 à Parisiana) - sous-titré "Consultation naïve" - reprises : Mme Debernay (aux Ambassadeurs), Charlus (1903), Dutreux, Paul Lack (1910 sous l'alias Zip)

Paroles : Valentin Tarault, Alex Trébitsch - Musique : Félicien Vargues - Éditeur : Ondet/Fortin

Ci-dessous les versions de la partition, de Charlus, de M. Zip.

La partition :

Je connais un médecin épatant
Papa y est allé y a pas longtemps
I’ y a dit comme ça : J’peux pas t’nir debout
Je m’sens les guibolles comme du fromage mou !
Eh ben, aussitôt qu’il l’a-z-entendu
Savez-vous comme ça c’qu’i’ y a répondu ?
I’ y a dit : Puisque vous n’tenez plus d’bout
Eh ben, v’là une chaise, t’nez, asseyez-vous !
Des médecins comme ça, y en a pas beaucoup !

Tenez, y a mon cousin qu’a été l’trouver
I’ y a dit comme ça : Je suis bien énervé
Y a ma femme qui m’trompe avec un soldat
J’ai beau m’raisonner, je n’peux pas voir ça !
Eh ben, aussitôt qu’il l’a-z-entendu
Savez-vous comme ça c’qu’i’ y a répondu ?
I’ y a dit : Pour ne pas voir ça, mon pauv’ vieux
Y a qu’un seul moyen, faut fermer les yeux !
Et depuis c’temps-là, ça va beaucoup mieux !

Tenez, y a l’coiffeur qu’a été l’trouver
I’ y a dit comme ça : J’suis bien désolé
Y a l’époux d’ma sœur qui d’meure à Auteuil
Il est bien malade, i’ va tourner d’l’œil
Eh ben, aussitôt qu’il l’a-z-entendu
Savez-vous comme ça c’qu’i’ y a répondu ?
I' y a dit : Pour les poux, mon vieux, y a pas l’choix
Faut les écraser entre vos deux doigts
L’coiffeur y a d’mandé : Combien que j’vous dois ?

T’nez, y a un copain qu’a été l’trouver
I’ y a dit comme ça : J’suis bien embêté :
Depuis que j’demeure faubourg Saint-Martin,
Eh ben, j’ai des gaz dans les intestins !
Alors, aussitôt qu’il l’a-z-entendu
Savez-vous comme ça c’qu’i’ y a répondu ?
Y a dit : Maintenant, l’gaz, c’est bien démodé ;
Faites-vous donc poser l’électricité
Eh ben, mon copain, i’ en a roté
I’ y avait pas pensé !

Y a la couturière qu’a été l’trouver ;
Elle y a dit comme ça : Vous pouvez m’sauver
Je m’suis piqué l’doigt en r’prisant mes bas ;
Comment qu’faut m’y prendre pour qu’ça r’commence pas ?
Eh ben, aussitôt qu’il l’a-z-entendu ;
Savez-vous comme ça c’qu’i y a répondu ?
I’ y a dit : J’vois pas c’qui peut vous peiner
T’nez, moi, hier au soir, je m’suis piqué l’nez
Eh bien, j’vous assure qu’ça n’m’a pas gêné !

T’nez, y a l’sergent d’ville qu’a été l’trouver ;
I’ y a dit comme ça : J’veux m’empoisonner ;
J’ai des peines de cœur et j’veux m’faire périr
Dites-moi c’qu’i’ faut faire pour n’pas trop souffrir !
Eh ben, aussitôt qu’il l’a-z-entendu,
Savez-vous comme ça c’qu’i’ a répondu ?
I’ y a dit : Eh bien, j’vas pas vous manquer !
Y a r’tiré ses bottes ; y a fourré sous l’nez
Un quart d’heure après, il était crevé !


Alors, à mon tour, j’ai été l’trouver,
Et j’y’ai dit comme ça : J’viens vous consulter ;
J’ai des névralgies après les mollets ;
J’vous en prie, docteur, dites-moi donc c’que c’est
Eh ben, aussitôt qu’il m’a-z-entendu,
Savez-vous comme ça c’qu’i’ m’a répondu ?
I’ m’a dit : Mon p’tit, veux-tu que j’sois franc ?
J’vais t’dire qu’est c’que c’est, eh bien, c’est vingt francs
Moi, quand j’ai vu ça, j’ai fichu mon camp !


----------------------

Charlus :

J' connais un méd'cin vraiment épatant
Papa y est allé y a pas bien longtemps
I’ y a dit comme ça : J’peux pas t’nir debout
Je m’sens les guibolles comme du fromage mou !
Eh bien, aussitôt qu’il l’a-z-entendu
Savez-vous comme ça c’qu’i’ y a répondu ?
I’ y a dit : Puisque vous n’tenez plus d’bout
Prenez donc une chaise puis asseyez-vous !
Des médecins comme ça, y en a pas beaucoup !

T’nez, y a un copain qu’a été l’trouver
I’ y a dit comme ça : J’suis bien embêté :
Depuis que j’demeure faubourg Saint-Martin,
Eh ben, j’ai des gaz dans les intestins !
Alors, aussitôt qu’il l’a-z-entendu
Savez-vous comme ça c’qu’i’ y a répondu ?
I' y a dit : Maintenant, l’gaz, c’est démodé ;
Faites-vous donc poser l’électricité
Eh ben, mon copain, il en a roté

T’nez, y a l’sergent d’ville qu’a été l’trouver ;
I’ y a dit comme ça : J’veux m’empoisonner ;
J’ai des peines de cœur et j’veux m’ périr
Dites-moi c’qu’i’ faut faire pour pas trop souffrir !
Eh bien, aussitôt qu’il l’a-z-entendu,
Savez-vous comme ça c’qu’i’ a répondu ?
I’ y a dit : Eh ben, j’vas pas vous rater !
Y a r’tiré ses bottes ; y a fourré sous l’nez
Un quart d’heure après, il était crevé !

Tenez, y a l’charcutier qu’a été l’trouver
I’ y a dit comme ça : J' suis bien fatigué
J’ai quatorze enfants, je n' vais pas très bien
Et la cochonnerie, ah ! ça n’me dit plus rien
Eh bien ! aussitôt qu’il l’a-z-entendu
Savez-vous comme ça c’qu’i’ y a répondu ?
I’ y a dit : Votre femme m’en a d’jà parlé
I’ faudrait pas faire tant d' petits salés
Dame ! pour trouver ça, faut qu’i’ soye calé !

T’nez, y a l’sacristain qu’a été l’trouver
I’ y a dit comme ça : J’crois que j’vais crever
J’ dis pourtant l’Pater et l’Ave Maria
J’suis tout démoli, je n’sais pas c’qu’i y a
Eh bien, aussitôt qu’il l’a-z-entendu
Savez-vous comme ça c’qu’i y a répondu ?
I’ y a dit : L'Ave Maria, c’est bien vieux
C'est laver vos pieds qui s’rait beaucoup mieux
Eh ben, l’sacristain en est resté bleu


- ---------------------

Zip :

J' connais un méd'cin vraiment épatant
Papa y est allé y a pas bien longtemps
I’ y a dit comme ça : J’peux pas t’nir debout
Je m’sens les guibolles comme du fromage mou !
Eh ben, aussitôt qu’il l’a-z-entendu
Savez-vous comme ça c’qu’i’ y a répondu ?
I’ y a dit : Puisque vous n’tenez plus d’bout
Eh ben, v’là une chaise, t’nez, asseyez-vous !
Des médecins comme ça, y en a pas beaucoup !

Tenez, y a l’charcutier qu’a z'été l’trouver
I’ y a dit comme ça : J' suis bien fatigué
J’ai quatorze enfants, je n' vais pas très bien
Et la cochonnerie, ça n’me dit plus rien
Eh bien ! aussitôt qu’il l’a-z-entendu
Savez-vous comme ça c’qu’i’ y a répondu ?
I’ y a dit : Votre femme m’en a d’jà parlé
I’ faudrait pas faire tant de p’tit salé
Pour y avoir dit ça, faut qu’i’ soye calé !

T’nez, y a mon coiffeur qu’a z'été l’trouver
I’ y a dit comme ça : J’suis bien embêté :
Depuis que j’demeure faubourg Saint-Martin,
Eh ben, j’ai des gaz dans les intestins !
Alors, aussitôt qu’il l’a-z-entendu
Savez-vous comme ça c’qu’i’ y a répondu ?
I' y a dit : Maintenant, l’gaz, c’est bien démodé ;
Faites-vous donc poser l’électricité
Eh ben, mon coiffeur, il en a roté

T’nez, y a l’sacristain qu’a z'été l’trouver
I’ y a dit comme ça : J’crois que j’vas crever
J’ai beau dire l’Pater et l’Ave Maria
J’suis tout démoli, je n’sais pas c’qu’i y a
Eh ben, aussitôt qu’il l’a-z-entendu
Savez-vous comme ça c’qu’i y a répondu ?
I’ y a dit : L'Ave Maria, c’est bien vieux
C'est laver vos pieds qui s’rait beaucoup mieux
Eh ben, l’sacristain en a resté bleu



Montrer l'autre transfert audio du même document, ou montrer la face associée

Permalien : http://www.phonobase.org/5317.html

  Recherche avancéeRecherche tout champNouvelle recherche Page d'accueil